Tuesday, January 18, 2011

NON A L'ELECTION PRESIDENTIELLE A UN SEUL TOUR EN RD CONGO,MUKAMBA S'EXPRIME ET EXPLIQUE LA PETITION LANCEE



il l'avait promis, de nouveau le voici sur le chemin, chemin d'une lutte démocratique, pacifique et intelligente. dans sa dernière déclaration politique de l'année 2010 il avait annoncé le retrait de sa candidature à la présidence de la république mais avait aussi promit de rester présent et surtout de peser aux enjeux politique de son pays, comme il l'a si bien explicité que son retrait n'avait rien d'autres raisons que le renforcement du processus qu'il a toujours souhaiter pacifique et démocratique. en ce jour le voici déjà dans son nouveau costume de politicien actif ,réuni avec ses paires pour lancer les premières actions pour cette année,sans vouloir trop en parler nous vous laissons prendre connaissance des ces document faits en bas de cette page.
pour Augustin Mukamba ce n'est que le début des grandes manoeuvres politique,et la bataille pour l'instant est politico-juridique, en même temps est test pour l'opposition face au peuple , au monde et au pouvoir sur sa maturité, intelligence et surtout sa capacité mobilisatrice. Mukamba encourage le peuple à signer cette pétition et souligne cette innovation qui pour la première fois mettra la diaspora congolaise en action directe sur la scène politique d'une manière pacifique.
nous ne pourrons finir cette partie sans pour autant parler de la volonté de l'union de l'opposition manifestée par cette lettre adressée à l'opposition.

LETTRE ADRESSEE A L'OPPOSITION





Cher Frère et Compatriote,

Nous souhaiterions attirer votre attention sur la situation en cours dans notre pays, la République Démocratique du Congo, relative au projet de l'AMP en vue de la révision de l'article 71 de la Constitution et de la loi électorale – l'objectif étant d'imposer l'élection présidentielle à un seul tour. Nous sommes conscients de votre combat, comme acteur majeur de l'opposition, pour faire triompher les principes démocratiques. Ainsi avons-nous un point commun : celui qui consiste à privilégier la chose publique au détriment des intérêts personnels.

C'est parce que nous sommes très déterminés à nous battre pour le maintien de l'élection présidentielle à deux tours que nous nous adressons à vous, car nos démarches sont similaires, dans l'espoir de mener collectivement la bataille qui consiste à faire échouer le plan concocté par l'AMP. Nous avons donc choisi de faire signer la pétition jointe à ce courrier, laquelle réclame, conformément à l'article 278 de la Constitution, l'organisation d'un référendum sur le mode de scrutin ayant trait à l'élection du président de la République.

Nous pensons que tous les leaders de l'opposition doivent être associés à cette démarche pour imposer la volonté du peuple congolais à l'AMP. Ce sera le meilleur moyen de montrer à l'opinion aussi bien nationale qu'internationale, avant même l'élection du mois de novembre, l'impopularité du président Kabila.

Espérant pouvoir compter sur votre participation à l'initiative qui consiste à collecter au moins 100 000 signatures en vue d'un référendum pour le maintien de l'élection présidentielle à deux tours, nous vous prions d'agréer, cher Frère et Compatriote, l'expression de notre considération.


Pour le Collectif des Démocrates Congolais (CDC),
Augustin MUKAMBA,
Dr Bent Francis MBOYO,
Gaspard-Hubert LONSI KOKO

Paris, le 15 janvier 2011


voici le lien de la pétition






http://lapetition.be/en-ligne/petition-9112.html

BERPDC

berpdc@hotmail.fr

Saturday, January 01, 2011

Mukamba Augustin propose la formule 1+2 pour la Côte d’Ivoire



Le cas de la Côte d’Ivoire aujourd’hui ne peut laisser insensible aucun Africain. D’entrée de jeu, je voudrais souligner qu’il revient aux seuls Ivoiriens de reconnaitre et de présenter à la communauté internationale leur président par le biais du processus démocratique électoral et juridique si l’on doit respecter la souveraineté de ce pays. Une communauté internationale qui, en réalité, ne représente qu’une poignée de pays qui s’imposent sur les organismes internationaux au service de ces pays. La réalité, aussi bien dans le passé que de nos jours, nous le montre : des organismes dits « d’appui au développement c »omme ceux dits de « défense des droits humains » s’arrogent le droit de présenter un dirigeant pour la Côte d’ivoire...


Face à la situation actuelle en Côte d’Ivoire, nous voudrions simplement avertir les dirigeants politiques actuels de l’Afrique, surtout ceux d’Afrique noire, que la déstabilisation de la Côte d’ivoire réveillera les vieux démons du patriotisme et du nationalisme africains, une situation qui n’arrangera guère les relations nord-sud en ce siècle de mondialisation et de globalisation, avec l’alternative qu’offrent des pays émergents. Une méthode qui poussera la jeunesse à se rapprocher des vielles idéologies prônées par ceux qui ont payé de leur vie pour le panafricanisme. Au vu de la réalité pourrions -nous aujourd’hui donner tort aux pères de ce mouvement ?

Les chefs d’état africains qui s’engagent sur la voie de prendre les armes contre le peuple ivoirien se rendent-ils comptent de ce que cela suscitera dans les jeunesses de leurs propres pays ? Quid de la jurisprudence que cela va créer ?

Pourquoi les chefs d’état africains se laissent -ils dicter par leurs pairs qui ne sont même pas du continent ? Quand les chefs d’état africains se prononceront-ils sur les politiques du nord , sur la montée de l’extrême droite, sur la xhenophobie, sur les pays sans gouvernement, sur la crise financière et que sais je encore ?

À problème interne, solution interne ; les Africains se sont trop entretués, au profit des industries d’armement occidentales. Il est temps que les grandes idéologies de l’Afrique menées par de Kouameh Nkroumah, Patrice Emery Lumumba, Robert Mugabe, dos Santos, Laurent-Desiré Kabila, Dadis Camara, Nelson Mandela et tant d’autres se réalisent.

Nous suggérons aux leaders ivoiriens de prouver à la face du monde qu’ils sont matures et maîtres de leur pays, en se mettant autour d’une table pour parler face à face. Nous leur proposons de former un gouvernement d’union nationale en mettant en place trois grandes commissions dont la commission socio - économique, la commission politico-financière, la commission de coordination et que chacune de ces commissions soient dirigées par l’ un des présidents, donc les présidents Laurent Gbagbo, Alassane Ouattara et Konan Bedié. Un gouvernement sans premier ministre, aussi une équipe réduite a parité égale, ceci tout simplement pour dire que l’exclusion d’un des présidents déstabilisera le pays.

Enfin, nous proposons la mise en place d’une nouvelle commission électorale visant l’organisation des élections législatives avec un parlement bi cameral, une législature de cinq ans pour préparer l’alternative sans représentation des leaders actuels. Augustin Mukamba, La Troisième force
BERPDC