Sunday, November 04, 2018
Monday, November 20, 2017
Sunday, November 19, 2017
Saturday, July 25, 2015
Monday, June 23, 2014
LA SOUVERAINETE HYPOTHEQUE A 400.000.000 $
La République démocratique du Congo est en plein débat politico juridique qui doit déterminer à la fois l'avenir de son peuple et le modèle de l'exercice démocratique.
sans trop expliquer le sujet qui alimente la classe politique congolaise ce jour n'est pas celui du quotidien de citoyen mais c'est le pouvoir dans toute ses formes glorieux, toute l'attention est focalisé sur la manière pour certains d'y accéder et pour les autres de le conserver , pour cela un seul fusible à faire sauter , c'est la loi autrement dit user des dispositions constitutionnelles pour une certaine crédibilité voire légitimité.
le monde entier a suivi le processus de l'aventure démocratique congolaise sur le sujet, parti de suspicion et en fin la réalité traduit par une proposition de loi visant une éventuelle modification de la constitution et il faut dire , pas directement comme l'ont prédits les auteurs, mais présenter autrement,et pour résumer la dite proposition veut réduire le pouvoir de la puissance du peuple dans l'exercice de la démocratie ,précisément dans son expression sur le choix des ses représentants au niveau provincial.
il nous a été dit à plusieurs fois que la sécurité et l'intégrité d'un pays n'a pas de prix, nous sommes simplement étonné de découvrir que la démocratie et la souveraineté ont un prix et un prix marchand. l'argument avancé par la majorité au pouvoir en RDC soutient son initiative sur base des moyens fianancier, s'il on doit accepter l'argument comme tel est ce faut il vraiment cet argent pour resencé, organiser et planifier les election ?
un pays riche avec un taux de croissance en rose plébiscité et accepté par les organes et institution financière internationale ,manque de l'argent et d'Amis pour organiser son système politique en claire électoral gage de la démocratie, considérer comme secteur de commande,le peuple museler pour cause de 400.000.000 $ chiffre avancé par les organes compétant afin de sauver l'expression du peuple.
La majorité au pouvoir en accord avec la CENI en place ne cesse de se justifier sur les chiffres financier pour sauver la démocratie et redonner la parole au peuple pour s'exprimer sur les choix de ses élus provinciaux.
La définition la plus simple de cette dernières montre que le peuple est souverain: que doit faire ce peuple pour assumer et sauver son pouvoir ? est ce aux leaders de le défendre ou à lui même de s'auto prendre en charge comme l'a dit Mr Etienne Tshisekedi ?
au vu de la situation seul la suite des événements déterminera la fin.
berpdc.
sans trop expliquer le sujet qui alimente la classe politique congolaise ce jour n'est pas celui du quotidien de citoyen mais c'est le pouvoir dans toute ses formes glorieux, toute l'attention est focalisé sur la manière pour certains d'y accéder et pour les autres de le conserver , pour cela un seul fusible à faire sauter , c'est la loi autrement dit user des dispositions constitutionnelles pour une certaine crédibilité voire légitimité.
le monde entier a suivi le processus de l'aventure démocratique congolaise sur le sujet, parti de suspicion et en fin la réalité traduit par une proposition de loi visant une éventuelle modification de la constitution et il faut dire , pas directement comme l'ont prédits les auteurs, mais présenter autrement,et pour résumer la dite proposition veut réduire le pouvoir de la puissance du peuple dans l'exercice de la démocratie ,précisément dans son expression sur le choix des ses représentants au niveau provincial.
il nous a été dit à plusieurs fois que la sécurité et l'intégrité d'un pays n'a pas de prix, nous sommes simplement étonné de découvrir que la démocratie et la souveraineté ont un prix et un prix marchand. l'argument avancé par la majorité au pouvoir en RDC soutient son initiative sur base des moyens fianancier, s'il on doit accepter l'argument comme tel est ce faut il vraiment cet argent pour resencé, organiser et planifier les election ?
un pays riche avec un taux de croissance en rose plébiscité et accepté par les organes et institution financière internationale ,manque de l'argent et d'Amis pour organiser son système politique en claire électoral gage de la démocratie, considérer comme secteur de commande,le peuple museler pour cause de 400.000.000 $ chiffre avancé par les organes compétant afin de sauver l'expression du peuple.
La majorité au pouvoir en accord avec la CENI en place ne cesse de se justifier sur les chiffres financier pour sauver la démocratie et redonner la parole au peuple pour s'exprimer sur les choix de ses élus provinciaux.
La définition la plus simple de cette dernières montre que le peuple est souverain: que doit faire ce peuple pour assumer et sauver son pouvoir ? est ce aux leaders de le défendre ou à lui même de s'auto prendre en charge comme l'a dit Mr Etienne Tshisekedi ?
au vu de la situation seul la suite des événements déterminera la fin.
berpdc.
Saturday, June 14, 2014
LA REVISION CONSTITUTIONNELLE EN RDC LA SOUVERAINETE CONFUSQUEE
dépuis un cértan temps les rummeurs et le comportement de certains acteurs politique ont occupés la scène mediatique sur des soupçons d'une éventuelle révision constitutionnelle.
il vaut mieux le signaler personne ne savait dans quel sens se pencherait cette revision, entre bal d'essaie et précaution finalement la nouvelle est tombée sur une révision technico politique souhaitée par le gouvernement basée sur le mode des élections qui met en difficulté l'expression du peuple.
Disons que la democratie congolaise est jeune et trop jeune comme le disent tous ceux du pouvoir et de l' opposition,un long parcours et le repect de processus semble des atouts majeurs pour la réussite de ce concept imposé de l'occident comme gage de bonne gouvernance et de légitimité;
le comportement des dirigeants congolais dans le processus de la democratie semble rapide, est- ce par volonté, rattrapage ou le paraitre? seul eux savent !
preuve , les differents discours , lignes et visions politique du pouvoir actuel du 5 chantiers à la révolution de la modernité;
aujourd'hui on veut faire passer les congolais de la democratie elementaire à la democratie avancée le dernier exemple s'affiche sur l'introduction au processus électorale à la pratique de grands electeur notion peu connu du peuple et necessitant plusieurs préalables comme élément de garantie.
notre crainte et la raison de notre opposition à cette proposition est la défense de droit a l'expression du peuple, dans un pays où le peuple est peu associer voire consulter pour et à des grandes questions d'interet national,le seul moment pour lui , d'exercer sa souveraineté est celui de s'exprimer dans les unrnes pour à la fois promouvoir et sanctionner, si c'est ce droit doit lui être ôter quelle sera la prochaine etape?
l'opposition doit arrêter de pleurnicher elle doit travailler dure pour dementeler et démontrer tous les méfaits et faille du systeme actuel encore plus doit presenter des alternatives valables et convaincantes à des critiques emises.
nous lançons un grand appel à la mobolisation et sensibilisation de peuple pour faire entendre sa voix dans la defenses de ses droits surtout pour sauver la democratie directe et participative autre ment dit la democratie directe, valeur chere a l'apprentissage de la democratie,valeur ineliable qui merite d'être défendue à haute voix avec force et energie.
berpdc
dépuis un cértan temps les rummeurs et le comportement de certains acteurs politique ont occupés la scène mediatique sur des soupçons d'une éventuelle révision constitutionnelle.
il vaut mieux le signaler personne ne savait dans quel sens se pencherait cette revision, entre bal d'essaie et précaution finalement la nouvelle est tombée sur une révision technico politique souhaitée par le gouvernement basée sur le mode des élections qui met en difficulté l'expression du peuple.
Disons que la democratie congolaise est jeune et trop jeune comme le disent tous ceux du pouvoir et de l' opposition,un long parcours et le repect de processus semble des atouts majeurs pour la réussite de ce concept imposé de l'occident comme gage de bonne gouvernance et de légitimité;
le comportement des dirigeants congolais dans le processus de la democratie semble rapide, est- ce par volonté, rattrapage ou le paraitre? seul eux savent !
preuve , les differents discours , lignes et visions politique du pouvoir actuel du 5 chantiers à la révolution de la modernité;
aujourd'hui on veut faire passer les congolais de la democratie elementaire à la democratie avancée le dernier exemple s'affiche sur l'introduction au processus électorale à la pratique de grands electeur notion peu connu du peuple et necessitant plusieurs préalables comme élément de garantie.
notre crainte et la raison de notre opposition à cette proposition est la défense de droit a l'expression du peuple, dans un pays où le peuple est peu associer voire consulter pour et à des grandes questions d'interet national,le seul moment pour lui , d'exercer sa souveraineté est celui de s'exprimer dans les unrnes pour à la fois promouvoir et sanctionner, si c'est ce droit doit lui être ôter quelle sera la prochaine etape?
l'opposition doit arrêter de pleurnicher elle doit travailler dure pour dementeler et démontrer tous les méfaits et faille du systeme actuel encore plus doit presenter des alternatives valables et convaincantes à des critiques emises.
nous lançons un grand appel à la mobolisation et sensibilisation de peuple pour faire entendre sa voix dans la defenses de ses droits surtout pour sauver la democratie directe et participative autre ment dit la democratie directe, valeur chere a l'apprentissage de la democratie,valeur ineliable qui merite d'être défendue à haute voix avec force et energie.
berpdc
Thursday, March 14, 2013
ACCORD CADRE D’ADDIS ABEBA VICTOIRE PARTIELLE ET CIRCONSTANCIELLE
Après examen profond de ces accords, nous ne cacherons pas nos sentiments réels, de prime abord de saluer le courage, la volonté et la détermination des négociateurs congolais pour avoir réussi à faire parler de la situation inacceptable de la RD Congo ,situation ayant généré beaucoup d’amertume et de désolation dans la grande famille Congolaise, de même, qui est devenue la préoccupation quotidienne des congolais.
Nous avons analysé ces textes ligne par ligne, chaque paragraphe, et voici nos observations:
Une grande réalisation de ces assises c’est la transformation du mandat de la MONUC / MONUSCO; plus loin la nature et l’esprit des décisions qui sont restées circonstancielles.
Avant de commenter voire de justifier notre position, nous tenons à insister sur le fait que pour nous les questions de base doivent être posées.
Ces questions sont:
-POURQUOI SEULEMENT LA PARTIE EST ?
-POURQUOI SEULEMENT LE RWANDA ET L’OUGANDA ?
-QUELS ONT ETE LES ACCORDS DE SOUTIEN AUX REBELLES ?
-QUI ONT SOUTENU ET SOUS QUELLES CONDITIONS LES PRINCIPALES REBELLIONS DE LA RDC ?
ETC…
Pour revenir au texte final, il est vrai qu’avec la nouvelle présentation des forces des nations unies, la mission est désormais de combattre les rebellions. Rien que ça plusieurs enjeux dont le risque de développement des foyers armés avec toutes les dérivées (mafia et business des matières premières et d’armement); cette partie risque de basculer vers un statut spécial pour ne pas parler de la matérialisation de la balkanisation, car économiquement parlant plusieurs activités de cette région sont déjà dirigées vers l’extérieur. La même partie présente moins d’attachement à Kinshasa d’où la nécessité de veiller et bien suivre l’exécution par rapport à la réalité du terrain.
Sur la nature des décisions, rien de spécial, il a toujours été question de FDLR. Politiquement parlant quelle mesure concrète, est ce la seule solution ne serait que de le combattre d’une manière armée ou il faut envisager une solution politique au Rwanda ? Nous déplorons le fait que le vrai problème n’a pas été abordé donc question d’avoir un dialogue franc sur ce conflit avec le Rwanda, l’Ouganda et les pères des rebellions congolaises, la révision des accords de suncity, pour simple raison que nous considérons, qu’aussi longtemps la situation ne sera pas abordé de la sorte le risque de rebondissement est réel; voilà pourquoi nous comprenons la prudence des signataires.
Déjà avant l’application de ces dites mesures voilà le M23 en morceaux. Or la paix et les accords ont été faits sur base de ce mouvement. Donc, il faut s’attendre à des nouvelles assises avec un nouveau partenaire.
Sur ce, pour une paix durable en RDC lors des assises de dialogue inter congolais ces points doivent figurer à l’ordre du jour.
BERPDC
berpdc@hotmail.fr
Nous avons analysé ces textes ligne par ligne, chaque paragraphe, et voici nos observations:
Une grande réalisation de ces assises c’est la transformation du mandat de la MONUC / MONUSCO; plus loin la nature et l’esprit des décisions qui sont restées circonstancielles.
Avant de commenter voire de justifier notre position, nous tenons à insister sur le fait que pour nous les questions de base doivent être posées.
Ces questions sont:
-POURQUOI SEULEMENT LA PARTIE EST ?
-POURQUOI SEULEMENT LE RWANDA ET L’OUGANDA ?
-QUELS ONT ETE LES ACCORDS DE SOUTIEN AUX REBELLES ?
-QUI ONT SOUTENU ET SOUS QUELLES CONDITIONS LES PRINCIPALES REBELLIONS DE LA RDC ?
ETC…
Pour revenir au texte final, il est vrai qu’avec la nouvelle présentation des forces des nations unies, la mission est désormais de combattre les rebellions. Rien que ça plusieurs enjeux dont le risque de développement des foyers armés avec toutes les dérivées (mafia et business des matières premières et d’armement); cette partie risque de basculer vers un statut spécial pour ne pas parler de la matérialisation de la balkanisation, car économiquement parlant plusieurs activités de cette région sont déjà dirigées vers l’extérieur. La même partie présente moins d’attachement à Kinshasa d’où la nécessité de veiller et bien suivre l’exécution par rapport à la réalité du terrain.
Sur la nature des décisions, rien de spécial, il a toujours été question de FDLR. Politiquement parlant quelle mesure concrète, est ce la seule solution ne serait que de le combattre d’une manière armée ou il faut envisager une solution politique au Rwanda ? Nous déplorons le fait que le vrai problème n’a pas été abordé donc question d’avoir un dialogue franc sur ce conflit avec le Rwanda, l’Ouganda et les pères des rebellions congolaises, la révision des accords de suncity, pour simple raison que nous considérons, qu’aussi longtemps la situation ne sera pas abordé de la sorte le risque de rebondissement est réel; voilà pourquoi nous comprenons la prudence des signataires.
Déjà avant l’application de ces dites mesures voilà le M23 en morceaux. Or la paix et les accords ont été faits sur base de ce mouvement. Donc, il faut s’attendre à des nouvelles assises avec un nouveau partenaire.
Sur ce, pour une paix durable en RDC lors des assises de dialogue inter congolais ces points doivent figurer à l’ordre du jour.
BERPDC
berpdc@hotmail.fr
Subscribe to:
Posts (Atom)