Dans les couloirs politiques de Kinshasa, les rumeurs ne cessent de parcourir les bureaux sur les tractations d'un éventuel ré aménagement gouvernemental pour palier à certaines insuffisances ou incapacités du gouvernement à pouvoir faire fasse à certaine situation sur terrain.
Parmi ces rumeurs le retour à 1+4 plaqué au gouvernement qui prédomine toute autre option.
Pour la 3ème force, par la bouche de son président son excellence Mr Augustin Mukamba le problème se situe à deux niveaux à savoir la réalité sur terrain e la manière d'aborder.
Une grande question se pose celle de savoir les besoins réels du terrain et la manière d'y répondre, aussi la question de l'être humain acteur incontournable de la solution.
Selon Mr Augustin Mukamba quelque soit la situation (insécurité, crise, etc...) c'est l'homme qui est habilité a porté une solution d'où la motivation et la considération humaine puis le soutien à l'action.
Cela étant, aussi longtemps que l'homme ne se sentira pas au coeur de l'action quelques soient les manoeuvres politiques le résultat est voué à l'échec, donc la nécessité de la prise en compte des conditions des êtres animateurs de la chose pour la réussite de l'action.
Pour la 3ème force, la solution ne réside pas dans le ré aménagement ministériel mais plutôt à la à la révision du traitement des êtres animateurs, tout en sachant que la concrétisation et la pratique restent l'affaire de base.
C'est dans cette optique que la 3ème force propose plus de moyen pour la base qu'au sommet car les nouveaux partages du pouvoir au sommet n'apportera rien; le pays étant doté des structures de base comme les gouvernements et parlements provinciaux, des structures de proximités, c'est-à-dire du terrain qui sont censés vivre, maîtriser la situation réelle donc ils restent les voies incontournables et fiables pour différentes solutions tant pour la sécurité que pour la reconstruction.
Parlant de la sécurité, les combattants, les soldats, les habitants des villages vivants ces situations méritent une certaine motivation, considération, pouvoir, pour sécuriser, amener des solutions; autrement dit le pouvoir qu'on veut conférer aux ministères avec tout ce qui suit serait mieux à la base (personne du terrain).
Parlant du social cas concret de l'enseignement,
la 3ème force propose l'octroi du pouvoir, de gestion aux employers du secteur pour un éclairage, une transparence afin de motiver les acteurs du domaine, premier élément de confiance; aussi longtemps que les employers ne seront pas associés au processus de conception, de décision, il y'aura toujours ce bras de fer opposant le gouvernement aux fonctionnaires.
Soit-dit-en passant, la 3ème force à toujours plaider pour les mariages des dirigeants et dirigers, même pour des situations difficiles, dans l'unité et l'harmonie on peut toujours faire chemin.
Donc pour la 3ème force, le ré aménagement n'est en aucun cas la solution, la meilleure, mais le renforcement du pouvoir des bases.
BERPDC
Pour la coordination des publications
Gladys Nlemvo
1 comment:
Nous, Projet 2014, soutenons la thèse que le régime et le pouvoir en place en RDC sont plus qu'incompétents : ils sont de mauvaise foi en ce qu'ils réfusent, volontairement, dans le seul but de se servir égoïstement, de mobiliser les ressources nationales pour la promotion de la paix et du développement en RDC.
De ce fait, le Gouvernement de l'Opposition est pour nous le cadre dans lequel nous donnerons la preuve qu'il est possible de mobiliser notre peuple à travailler à la pacification de notre pays et à son développement en utilisant des méthodes élégantes, honorables, économiques, humanistes...
Il revient à tout congolais qui aime notre nation, d'observer, de bien ouvrir les yeux ; et, de décider pour le camp de la paix et du développement ; de résolument combattre en soi-même, autour de soi et dans notre pays les égoïsmes, les divisions, les assassinats et les guerres qui nous déshonorent et continuent à hypothéquer l'avenir de nos progénitures et à décimer notre peuple !
La proposition de la 3ème Force nous semble bien proche de notre vision : nous nous en réjouissons.
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