le sujet fâche, passionne,mobilise voir décourage les masses;les désespérés,les tenants du pouvoirs, les aspirants bref les citoyens dans presque toutes les lèvres congolaises un seul sujet la libération.quand et comment?
certes, plusieurs conceptions, plusieurs calculs,plusieurs méthodes et plusieurs projet. il y a quelques années les zaïrois réclamés tout haut par un mouvement des masse conduit par l'UDPS et L?UNION SACRÉE la démocratie,voilà le 24 .avril.1990 le Maréchal Mobutu proclamé l'instauration de la démocratie en sa manière,une démocratie pluraliste d'abord avec trois partis politique puis une multipartisme. quelques observations. un peuple et une élite non préparé conclusion une transition plus longue qu'un mandat présidentiel,pour finir par une lutte militaire scène contraire à la démocratie souhaitée.
aujourd'hui face à la destruction du tissus socio politico économique du pays une nouvelle demande menée par la diaspora congolasise la libération.
volonté commune,souhait commun mais plusieurs lectures et plusieurs conception que le voeux divise et affaiblit.
pour certains la libération et la militarisation de tous le pays, la chasse à l'homme,le changement des visages,changement des mentalités,changement des régimes ,élection présidentielle,élection locale etc...
Mukamba Augustin trace la ligne en disant les pouvoir des nation a ce jours et a ce siècle est dans le monde économique,pour dire que celui qui détient et contrôle l'économie c'est celui là qui a la clé,plus loin ce la revient à dire la vraie libération c'est le contrôle de l'économie nationale par les autochtones,car la vie nationale repose sur les retombés économiques d'un pays, le social est fonction de l'économie et de la politique ,or la politique à nos jour dépends de l'économie. les aspirants et les responsables de mouvements qui veulent réellement parler libération doivent commencer par étudier les voies et moyens de contrôle,de récupération et d'être actif sur la scène économique.
il est vrai que cela n'est pas la condition sine qua non mais c'est une des conditions nécessaire pour atteindre le but final. l'adhésion populaire n'est seulement pas conditionné par le meilleur discours mais plutôt par les actes et ces actes ne sont pas des actes des violences et des terrorisme mais des actes sociales favorable aux attentes des peuples.
étonnant sur les prix que paie aujourd'hui les congolais pour la libération, entre les mensonges et les escroqueries tant financière que des vision ,il est temps que ces peuple soit enseigner et révéler des vérités de libération.
BERPDC
berpdc@hotmail.fr
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